Baisé comme une chienne par un ouvrier Turc
Histoire gay publiée le 27/02/2025
J’ai 50 ans, toujours sapé comme un prince : costume trois-pièces bien taillé, cheveux poivre et sel impeccables, une touche de Creed Aventus pour parfaire le tableau. J’habite un immeuble bourgeois du 16e, ascenseur en marbre, le grand jeu. Mais depuis des semaines, je mate Ahmet, un ouvrier Turc qui bite sur le chantier en bas d'immeuble. La quarantaine, gros, poilu, mal rasé, il pue la sueur et la poussière. Son uniforme crade et ses baskets de chantier détonnent dans mon hall chicos, mais ce qui me rend dingue, c’est la bite énorme que je devine sous son froc. Un truc monstrueux qui me fait fantasmer à chaque fois que je le croise.
Ce soir-là, vers 17h, je rentre chez moi et il est là dans le hall, clope au bec, les mains noires de saleté. Il me capte direct, un sourire en coin, et me lance : "Alors, la bourge, tu kiffes mater, hein ?" Je sens mes joues chauffer, je bafouille un truc débile, mais il s’approche, me coince presque contre le mur. Son odeur de sueur et de tabac me prend à la gorge. "J’te vois depuis l’temps, toi. T’as envie, pas vrai ?" Sans me laisser répondre, il m’attrape par la cravate et me tire vers lui. J’suis tétanisé, mais déjà excité.
D’un coup, il me pousse dans la local poubelles, il baisse son jogging, et là, je vois sa queue : un monstre, épais comme une canette, au moins 23 cm, poilu à la base, à moitié dur. "À genoux, la pute." Mes jambes flageolent, mais je tombe à genoux, mes mocassins cirés claquent sur le sol. J’hésite une seconde, et vlan, il me colle une claque sur la joue. "Suce, j’ai pas toute la soirée." J’ouvre la bouche, j’galère à encaisser son calibre, ma langue glisse sur la crasse et la sueur du chantier. Il râle, m’attrape la tête à deux mains et m’enfonce direct au fond de la gorge. J’m’étouffe, je bave partout, ma chemise blanche se retrouve tachée.
Après dix minutes à me faire baiser la bouche, il me choppe, me relève d’un coup et me retourne contre le mur. Il baisse mon froc Armani d’un geste. "T’as un cul de princesse, on va voir s’il tient l’coup." Il crache dans sa main, étale ça sur sa queue énorme et m’empale d’un coup sec. J’gueule grave ! La douleur me déchire, mais il me plaque une main sur la bouche. J'ai honte car tout l'immeuble m'entend. "Ferme-la !" Il commence à me pilonner, d’abord doucement, puis vite, fort, ses couilles poilues claquent contre mon cul. Le hall résonne de bruits dégueulasses, mon parfum chic disparaît sous son odeur forte.
Plié en deux, j’suis à la fois en enfer et au paradis, mon corps de quinqua propre sur lui complètement à sa merci. Il accélère, grogne comme un ours : "Putain, t’es serré, j’vais tout lâcher." En quelques minutes, il se retire, me force à me retourner et me balance : "Ouvre grand." Cinq jets épais me giclent en pleine gueule, le sperme dégouline sur mon visage, sur ma chemise hors de prix. Il remonte son jogging, ricane : "T’es ma chienne maintenant, bourge. J’repasse demain après l’chantier." Il crache par terre et se barre, me laissant là, essoufflé, humilié, mais déjà accro à son délire.