Le jeune Syrien
Histoire gay publiée le 31/12/2015
C'était en septembre, dans l'assoc' où je suis on vient en aide aux migrants, on est spécialisé pour leur apprendre le français. Ça fonctionne ainsi, dans le local on regarde le niveau des migrants puis selon les niveaux-capacités, les bénévoles se répartissent. Chaque bénévole peut accueillir chez lui quelques migrants durant quelques heures. Lors de mon arrivée le mercredi, je fais passer les tests, au final je me rends compte qui a seulement un jeune, Bilal, qui avait appris le français à l'école, qui viendra pour s'améliorer, pouvoir faire son cv ? On se donne alors rendez-vous le samedi à 13h30, je l'emmène chez moi, lui propose à avaler. Bilal, 20ans, 1m85, cheveux noirs courts, le bouc, bien musclé et poilu partout. Il s'assoit, je lui donne à avaler, lui dit de se mettre à l'aise sur mon canapé. L'ordi était allumé, face à lui. Je le laisse 5min le temps d'aller chercher mes bouquins de français et en revenant, que vois-je. Bilal en train de regarder un site de cul et en train de se toucher bien vigoureusement. Il me voit, s'arrête, range son service trois pièces et me dit « ti comprend, moi loin de ma copine, fait longtemps pas plaisir ». Je lui dit c'est pas grave, t'es un homme, t'as des besoins. En lui disant, je me rappelais sa queue bien veineuse qu'il avait frotter bien fortement. Je décide de reprendre mes esprits, je m'assois près de lui, commence à ouvrir les livres pour faire la leçon. Il prend le livre, le met sur son côté et me dit « ti connais jeunes femmes pour baise, ji trop envie ». J'hésite et lui dit « et les gars ça ne t'intéresse pas », il n'avait pas compris, je répète « tu n'as pas envie de baiser avec des gars » et je fais un signe pour indiquer avec moi précisément. Là je vois qu'il a saisi le truc, il me dit « wé, moi déjà fait dans camps», il pensait qu' au trou. Et donc je me mets à lui toucher le paquet, lui défait les boutons. Il se lève, je suis a genoux, je baisse son froc et là je vois sa queue, bien pendante et ses boules bien lourdes. Je me mets à le biberonner, il a ses deux mains sur ma tête et me fait des mouvements de va-et-vient. Je mordillais son gros gland et lui léchait ses boules poilues, il gémissait ? Il me leva au bout de 8-10 mins et me dit « t'as capote », j'en sortis une de ma poche arrière, lui enfila tout en le branlant. Il me baissait le pantalon et il me dit « ti sais chez moi, tant que pas marié, droit qu'au cul », je lui réponds pas de soucis, t'es bien tombé. Je me mis à 4 pattes sur le canapé, il me lécha rapide, cracha et me rentra d'une coup sec son gros dard, bien 20cms. Il commença alors son pilonnage. J'avais la rondelle élargie comme pas possible, il s'appuya sur mon bassin pour me faire comprendre de me mettre sur le ventre et là ce fut l'extase, il m'enfila complètement. Que de coups de reins avec cette bite de jeune, mort de faim et expert du cul. Il enchaînait des coups forts et secs et disait des mots en arabe. Il avait un rythme de sportif. Il transpirait de partout et moi de la rondelle. Pas de secret, plus t'es jeune, plus t'es endurant. Il continua la chevauché et 10mins après se retira. Il enleva la capote et me demanda de la pomper, ce que je fis et il jouit direct. Je sentis 3 giclées bien épaisses que je ne tardais pas à avaler. Il me dit « vous français donnez tout pour nous aider, même cul», se rhabilla, je fis de même. En partant, on se redonna rendez-vous pour le samedi suivant. Il resta 3 semaines avant d'aller dans une autre ville. Durant les 3 autres samedis, j'eus droit à son biberon ? Comme quoi l'aide ça paie toujours.