Ce soir là je faisais du stop sur le bord d'une route de campagne. Je revenais de chez un pote avec qui j'avais bu quelques sodas. J'étais habillé d'un survet en nylon bleu et de blouson de cuir matelassé à capuche que j'avais remontée sur la tête en raison du froid. Il ne passait pas grand monde sur la route. Au bout d'un quart d'heure une audi noire passa, ralentie devant moi et s'arrêta. Je couru vers elle et me pencha à la vitre baissée. A l'intérieur je vis un beau rebeu d'environ 25 ans habillé lui aussi d'un survêt en nylon et d'une doudoune brillante noire. Il me fallu quelques secondes pour que me viennent des idées d'un plan avec lui mais je m'abstiens bien sur de le lui révéler. Je m'assis à coté de lui. Il démarra en trombe. A chaque passage de vitesses sa main frôlait le genou que je plaçais le plus proche possible de lui. A chaque mouvement sa doudoune crissait et je ne pouvais pas m'empêcher de m'imaginer y mettre mon visage contre ou d'y faire glisser mon sexe. Je bandais à mort mais il faisait trop noir dans la voiture pour qu'il s'en rende compte. Il parlait peu. Il trouvait risquer le fait que je fasse du stop par ici et rajouta en riant « mais rassure toi avec moi tu n'as rien à craindre ». Au bout d'un moment il me demanda si j'étais pressé. Un peu trop rapidement je lui répondu que j'avais toute la nuit. tant mieux me dit-il car moi non plus je n'ai pas envie de rentrer tout de suite. Ca te dis de fumer un bédot avec moi. Je croyais rêver. Tout ce qui pouvait prolonger ce moment était à prendre. Il roula encore quelques centaines de mètres avant de tourner sur un petit chemin. Il arrêta le moteur, recula son siège à fond et demanda de faire de même. Il sorti son matos et commença à cramer sa barrette. Sa doudoune brillait sous la flamme et chaque bruit de frôlement était un supplice pour ma queue dure. Une fois son joint rouler il tira une grande taffe. La bonne odeur de t empli tout l'habitacle. Ca te dis que je te fasse une souflette ? Avant même de répondre il avait mis le bout rouge dans sa bouche et me pris par la nuque pour me rapprocher les lèvres. Je fermais les yeux et vit qu'il fit de même. Je lui aurait rouler une pelle que je n'aurais pas été moins excité. L'effet de son pet me montait vite à la tête. Il se remis au fond de son fauteuil et tira sur son pet. Il me demanda si je voulais lui en faire une. Je pris alors le pet en bouche et osa le même geste que lui derrière sa nuque. Il remis la sienne en place et posa l'autre sur ma cuisse, sa doudoune collée contre mon cuir. Je lui souffla une bonne dose, complètement dérouté par ce qui était en train de se passer. Je retira le pet de ma bouche mais lui ne retira aucune de ses mains et approcha ses lèvres. Sans un mot et me fourra sa langue dans sa bouche pendant que sa main remontait le long de ma cuisse. Ses lèvres pinçaient les miennes, sa pointe de sa langue glissait sur la mienne. Je me mis alors à mon tour la main sur sa cuisse et remonta doucement le long de son survet. Lui était déjà arrivé au niveau de m queue qu'il malaxait doucement. A ce moment là je ne sais pas ou étais passé le pétard mais ce n'est plus ça que j'avais envie de fumer. Je le plaqua contre son siège et me baissa vers son entrejambe. Je passais ma bouche sur le nylon qui s?était tentu sous la raideur de sa queue. Il me pris par la capuche et guida ma tête. Je sorti son membre et le mis en bouche. Il était large et mon beau rebeu me l'enfonçait sans rudesse au fond de la gorge. Je sentais son souffle plus saccadé et des gémissements qui me laissaient penser que j'avais su prendre les choses en main. Ma joue frottait contre sa doudoune et les mouvements s'accélérait. J'étais excité à mort. Je n'avais pas besoin de toucher ma queue pour savoir que j'allais jouir rien que de le sucer. Il maîtrisait à présent complètement ma tête, il était devenu mon maître et je m'exécutait docilement. Je n'avais pas envie d'arrêter. Je voulais goûter à son foutre chaud. A entendre ses gémissements ça n'allais pas tarder. Je salivais un max pour que son gland glisse au mieux entre mes lèvres. Au râles qu'il faisait à présent et à la puissance qu'il mettait à me tenir la tête je compris qu'il allais venir. Je sentis une première giclée chaude, puis une deuxième plus épaisse. J'aurai voulu que ça ne s'arrête pas. Il me releva rudement la tête et m'embrassa. Il goûtait à son propre sperme dans ma bouche tandis que je giclais à travers mon caleçon. Il me demanda si j'habitais seul et me proposa de me raccompagner jusqu'à chez moi. « c'est à mon tour de de faire du bien me dit-il.... » et il démarra. Je vous raconterai la suite de la nuit une prochaine fois !