Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Plan avec rebeus dans la Marais
Histoire gay publiée le 29/07/2015
Je sortais d'une crémaillère d'un pote hétéro qui habite dans le marais, j'étais complètement raide et je commençais à sentir mon trou s'élargir face aux souvenirs des teubs que je m'étais enfiler dans le quartier. J'avais pas envie de rentrer chez moi pour me branler, il fallait que ce soit maintenant. J'ai l'habitude de déambuler dans le quartier vers 3h du matin, le weenkend. T'as l'impression d'être une petasse en manque de clients, prêt à se prendre n'importe quoi dans les trous avant de terminer sa nuit. Au bout d'une vingtaine de minutes, je croise deux types vraiment moches, des rebeus d'une cinquantaine d'année. L'un d'eux était particulièrement laid. Il avait une petite tête de pervers et je sentais ses yeux me piner la bouche. L'autre était un peu moins moche. Un sourire discret, ils m'accostent. Ils sont cash et me proposent de faire un plan chez eux. Le petit pervers m'appelle "petite petasse" et ça commence à me chauffer. Je me marre et colle mon cul contre la braguette de son pote. J'ai envie d'aller me faire niker salement dans un coin crade de la rue. Je sens son paquet s'allonger sur ma raie. Mon souffle s'accélère et je lui murmure de m'emmener dans la petite ruelle à côté. Le mec m'attrape fermement par le haut du bras et me traîne dans le coin sombre. "Sors ta queue" lui dis-je. Pendant qu'il me sort une teub moyenne mais passablement large, je baisse un peu mon jean pour laisser apparaitre la rondeur de mon boule bien remonté par le slim. "T'es vraiment un sac à foutre toi!" lache le petit moche. Celui la me dégoutait. Il avait une barre de sourcils dégueulasse, des petits yeux ronds et plutôt rapprochés et quand il parlait, il paraissait frustré et vénère. Il a rudement posé sa main sur mon épaule et je suis tombé à genoux, le cul à l'air. C'est là qu'il a sorti une bite énorme avec une paire de couilles sur laquelle je pourrais passer le weekend. Le petit moche devint le plus beau. Il poussa sur le bas de mon dos avec son poing afin de me cambrer le plus possible. Je relevais tellement haut ma chatte que j'ai cru casser ma colone vertebrale. Ses couilles ne pendaient plus, elles se reposaient sur ma gueule. C'est grace aux deux doigts de son potes que ses burnent purent entrer entièrement dans ma bouche. J'ai sentit un pouce rentre dans mon cul. Puis deux doigts. Puis quatre. Son pouce était maintenant a l'exterieur de mon trou et la moitié de sa main se mis a remonté en moi. Ses doigts se plièrent et voilà que mon cul se retrouva suspendu à son bras. J'ai couiné et la paire de couilles pleines de bave sortie doucement de ma bouche. Je me suis pris une bonne claque dans la gueule. Il a relevé ma tête en attrapant mes cheveux et m'as dit de fermer ma gueule, que j'existais pas. En remettant bien ses burnes lourdes et molles au fond de ma gorge, il lâcha un gros mollard sur ma face. J'avais envie de pleurer de bonheur, mais ce sont les doigts du premier mec qui me firent mouiller des yeux en premier. Le reste d'est déroulé très rapidement. Le premier a sorti une capote et sans perdre de temps il m'a enfilé comme un gant. Le petit pervers a secoué sa teub au dessus de mon nez et l'a branlé comme un taré. En 30 secondes les deux rebeus venaient de se vidercJe suis resté comme ça, par terre, le sperme chaud couland sur mon visage, glissant le long des couilles coincée dans ma bouche, sentant une teub se détendre 16 cm au fond de moi. C'était un super plan, mais je ne m'étais pas terminé. J'étais encore en chien et je cru, un bon moment, trouver un petit lascar pour terminer mon travaille de petasse ou une petite pédale comme moi prête a m'aspirer la queue. Je suis tombé sur une petite racaille qui m'a dit qu'il revenait dans moins d'une heure, j'étais frustré, j'avais la dalle. L' et la beue me rendait complètement soumise à la teub de rebeu. C'est quelques pas plus loin que je tombas sur un beau rebeu en jogging, casquette, la totale ... Il avait les cheveux rasés sur le côté et long sur le dessus, plaqué en arrière par une dose de gel bon marché que j'avais envie de sentir toute la nuit à mes côtés. Il avait une cicatrice sur une des joues. Elle était assez grande je crois. Mais j'en suis pas sûr, j'étais trop déchiré. Belle gueule, joue creuse, beaux yeux. Un rebeu métis à la peau claire.22 ans. Canon ... Il était sympa en plus, il m'a offert une limonade chez l'épicier, on a marché, il était poli, moi, super chaude du boule. Je lui ai demandé cash s'il aimait biffler. Il m'a dit que oui. Je lui ai proposé de le sucer dans une petite ruelle bien sombre. C'est ça qui est cool dans le marais, c'est que t'as plein d'endroits propices à la baise furtive. Le mec me répond qu'il a une caisse, qu'il doit payer l'horodateur, qu'on sera mieux là-bas et qu'il pourra s'occuper de moi "tranquille". Ca me saoulait grave mais tant pis, je voulais sa bite, sa bouche, son cul, tout. J'imaginais déjà la douceur de ses cuisses dessinées par de jolis poils noirs, se contractant à chaque coup de teub, enfonçant un peu plus rudement son gland gonflé par ma glotte. Mais se batard n'en fit rien. On arriva à l'horodateur et là, il me sort qu'il a pas de liquides, qu'il a que sa carte, qu'il veut que je lui prête du fric. Mais moi j'avais que dalle, je savais que j'allais finir le trou à l'air dans le marais parce que j'aurais trop bu pour me souvenir que, non, je ne suis pas qu'une petasse de 25 ans en mal de foutre. Donc, j'avais ni portable, ni argent, seulement mes clefs planquées dans mes chaussettes, car j'ai l'habitude dans ces ruelles de ne jamais enlever mes chaussures. Bref, le mec me traite de radin, je lui montre mes poches, je veux sa queue, il me saoule grave, je veux toujours sa queue. Bref, il se barre et je le suis. Je viens pas de passer 30 min à te taper la discute pour me retrouver la gorge sèche et les couilles pleines ! Mais le pire c'est que ce connard m'a pourris le plan suivant ! 5 minutes plus tard je retombe sur le lascard que j'avais croisé. Il me reconnait, s'exclame et m'aborde, me demandant si je suis bien la chienne de tout à l'heure. J'ai à peine le temps de répondre que l'autre connard lui dit un truc du genre "laisse tomber, c'est un radin ce mec!". Et les deux lascarent se barrèrent ensemble. Message à tous : quand tu chopes une lope, tu l'as tiens, tu la lâches pas, tu l'a démonte, tu te vides et là, uniquement là, tu peux te casser comme un connard.